Sous le soleil radieux de l'Italie, la maison Chanel a présenté sa collection Croisière 2025/2026 dans le cadre enchanteur de la Villa d’Este, un véritable joyau de la Renaissance, niché au bord du lac de Côme. Un décor somptueux qui n’a fait qu’accentuer l’éclat des créations. Parmi les pièces qui ont capté notre attention, une en particulier semble déjà promise à un avenir brillant dans nos garde-robes estivales : les mules vernies.
Dans cette collection résolument placée sous le signe de la légèreté, du glamour et de la dolce vita, les mules à talon incarnent l’élégance insouciante propre à la maison Chanel. Déclinées en noir, rose pâle, kaki ou beige, elles allient raffinement intemporel et sensualité discrète. Leur finition vernissée capte la lumière et évoque les soirées d’été où chaque instant devient un prétexte pour briller, sans jamais en faire trop.Ces mules sont un véritable caméléon : elles se marient aussi bien avec un tailleur-jupe en tweed qu’avec une robe fluide, un pantalon droit ou même un bermuda élégant. Cette polyvalence vient confirmer la place centrale que la mule occupe dans le vestiaire féminin depuis plusieurs saisons. À talons, elles insufflent une aura cinématographique, passant aussi bien des promenades élégantes dans les jardins de la Villa d’Este aux dîners en robe bustier et gants d’opéra.
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En attendant l’arrivée de Matthieu Blazy
La maison Chanel entre dans une nouvelle phase avec l’arrivée de Matthieu Blazy à la direction artistique. Cette transition est marquée par une collection Croisière 2025/2026 encore signée par le studio de création, mais déjà placée sous le signe du renouveau. La collection, tout en douceur et élégance, met en avant une vision moderne de la femme Chanel : libre, féminine et toujours impeccable.
Matthieu Blazy, qui prendra officiellement les rênes de la maison en octobre prochain, aura la tâche délicate de succéder à la direction artistique de la maison après une période riche en créations sous l'égide du studio. Son premier défilé sera scruté de près, notamment après cette parenthèse enchantée au bord du lac de Côme, qui a su capter l’imaginaire collectif.