Ce mardi 11 février, le Grand Palais accueillait le défilé automne-hiver 2025-2026 de la maison Chanel. La famille princière de Monaco n’a pas manqué de s’y rendre. Égérie de la marque, Charlotte Casiraghi avait revêtu un tailleur en tweed noir et blanc, pièce iconique de la griffe française. Son ancienne belle-mère, Carole Bouquet, a fait une apparition remarquée dans un ensemble pantalon et veste en velours noir. La mère de Dimitri Rassam avait été l’image de l’emblématique parfum Chanel Numéro 5 à la fin des années 1990. 

Charlotte Casiraghi et Dimitri Rassam se sont rencontrés en 2017, lors d’un dîner organisé par Chanel et « Vanity Fair ». Le couple a accueilli un fils, Balthazar, né en 2018. Très discrets durant leur relation, les deux anciens époux se sont peu confiés sur leur séparation. Le fils de Carole Bouquet est revenu sur son divorce, dans les colonnes de « Paris Match », le 16 janvier dernier. « On ne peut pas parler d’échec, quand on a connu une histoire d’amour forte, et qu’on a des enfants merveilleux », a-t-il confié. 

À lire aussi => Mariage royal : Charlotte Casiraghi et Dimitri Rassam, le culte de la discrétion

Carole Bouquet touchée par la séparation de son fils

Carole Bouquet est une figure emblématique du cinéma français. En 1990, elle remporte le César de la meilleure actrice pour son rôle dans « Trop belle pour toi ». Depuis la rencontre de son fils avec Charlotte Casiraghi, elle entretient des liens étroits avec Caroline de Monaco. Une amitié chère à la comédienne. « Caroline est quelqu’un que j’aime énormément, que je respecte et que j’admire, et avec qui j’aime beaucoup parler et partager des moments de la vie », avait-elle confié en 2018, dans les colonnes du magazine « Paris Match ». 

À lire aussi => Caroline de Monaco et Carole Bouquet, une relation privilégiée

Carole Bouquet avait été très touchée par la rupture de Dimitri Rassam avec son ex-belle-fille. En septembre 2024, elle avait tout de même accepté de se livrer sur la douloureuse situation. « Je vis leurs joies et leurs peines intensément, en essayant de ne pas leur montrer. Je me rends disponible pour parler, guettant les moindres passerelles s'ils ont envie de se confier à moi », avait-elle confié à « Paris Match ». Et d’ajouter : « J'essaye d'être discrète, car on sait, en tant que mère, qu'on n'est pas toujours la mieux placée pour aider. Quand quelqu'un a mal, on ne peut pas faire grand-chose à part être là et réassurer de son amour. »